Rock, France (Metalville, 2018)
Etrange sensation que l’écoute de ce Shift, troisième album de Lizzard. Indiscutablement rock, cet album puise dans les années 80 et 90, m’évoque The Police ou Sting en solo, REM et INXS. Je ne m’étendrais pas sur le chant qui me gêne. La voix est claire, précise, mais l’intonation ne me plait pas. Sans doute évoque-t-elle cette new wave que je trouvais insupportable. Musicalement, cependant, le riff est saillant, les mélodies efficaces, et j’admire cet instrumental, le morceau titre, qui est d’une finesse, d’une variété et d’une originalité remarquables. En bref, Lizzard nous offre un premier album attirant et réussi.