Power metal, Allemagne (SPV/Steamhammer, 2016)
Quatre ans après Cannibal nation (paru, donc, en 2012…), Klaus Dirks et sa bande reviennent avec cet album semi conceptuel, Tales from beyond. « Semi » car le concept narratif semble ne concerner que la seconde partie de l’album; L’histoire, qui donne son nom au disque, est divisée en trois parties, ne représentant qu’un tirs de l’album.. Passons les détails et entrons dans le vif du sujet. Mob Rules conait so affaire et l’on put s’étonner qu’il ait fallu autant de temps aux Allemands pour se remémorer à notre souvenir. On s’en étonne car le groupe a toujours proposé un power metal direct, puissant et efficace et ne change pas de recette. Dès l’introductif Dykemaster’s tale, on retrouve avec plaisir tous les ingrédients du succès: des guitares lourdes sur fond de riffs acérés et de rythmiques plombées, une voix puissante et des mélodies entraînantes. Mob Rules ne relâche guère la pression, tout en variant les plaisirs: My kingdom come s’approche du mid tempo, le refrain de The healer est particulièrement chantant, et le triptique Tales from beyond alterne entre esprit de bravoure (part 1 – Through the eye of the storm), lourdeur sombre et lenteur oppressante (part 2 – A mirror inside) avant de se faire de nouveau puissant (part 3 – Science save me!). Du travail bien fait, efficace qui, bien que sans grande surprise l’empreinte Helloween est toujours présente), saura satisfaire tous les amateurs du genre.
Note: 8,5/10
Titre que je retiens: The healer