Prévisions 2025

Nous y voici donc à cette année 2025! Après avoir jeté un coup d’œil dans le rétro, regardons maintenant droit devant. Nous ne sommes ni Madame Irma ni astrologues, pourtant, nous pouvons déjà prédire que ce premier quart de ce siècle sera musicalement riche. Il y en aura pour tous, pour tous les goûts et pour toutes les générations! 2025 sera riche de metal contemporain autant que vintage. Voici en partie ce qui nous attend.

Moyens technologiques obligent, les concerts sont annoncés de plus en plus tôt, mais tous ne se vendent pas aussi rapidement… Ne boudons pas notre plaisir cette année qui, en matière de concerts commencera fort. Pensons également, même si les programmations des petites salles ne sont pas encore finalisées, à regarder ce qu’il se passe dans nos clubs de province. Il y a du plaisir aussi dans les plus petites villes, je vous invite à vous rapprocher d’elles directement. Pour les « gros », voici un rapide aperçu de ce qui nous attend.

A tout seigneur… Une nouvelle fois, Mass Hysteria investi le Zénith de Paris la Villette le 31 janvier pour lancer l’année et entamer la dernière partie de sa longue tournée célébrant Tenace 1 et 2. Et ce n’est pas la fin puisqu’on retrouvera Mouss et sa troupe tout au long au moins du premier semestre.

Le Pagan Fest s’offrira quant à lui 3 dates avec Alestorm en tête d’affiche accompagné entres autres de Ensiferum, Tyr, Heidevolk et Elvenking. Une jolie fête joyeusement bordélique, n’en doutons pas!

Le 5 février, le Zénith de Paris recevra de nouveau Papa Roach. Le cafard est en grande forme et saura envahir e infester nos esprits.

Tout le monde ayant été convaincu par leur retour, les Américains de Pantera capitalisent sur l’intérêt qui leur est de nouveau porté et investissent la nouvelle Adidas Arena le 15 février.

Attention, évènement à ne pas rater! Le Trianon de Paris accueillera les beaucoup trop rares Queensrÿche le 17 février, où il seront accompagnés de leurs compatriotes de Night Demon. Nul doute que les Américains sont appelés à faire salle comble!

Février sera sans doute marqué su sceau des Australiens d’Airbourne qui vont envahir l’Hexagone. Une série de concerts déjà sold out! D’autres dates s’ajoutent avec, déjà en prévision, Paris en 2026!

Le phénomène indien Bloodywood est de retour pour 3 dates au mois de mars, dont un Bataclan le 19.

Après un sold out l’an dernier, la quatrième édition du Crick Fest recevra les prometteurs KingCrown à Cléry Saint André le 5 avril. Une affiche 100% heavy à la française puisque nous pourrons également y voir et écouter Stratagème, Benzin et les locaux de PrismA.

Ce sera ensuite au tour de Ghost de revenir hanter les scène hexagonales pour 3 dates à Lyon et Toulouse (les 26 et 27 avril) avant d’investir l’Accor Arena de Paris le 13 mai avec une toute nouvelle scénographie.

Les amateurs du genre seront aux anges puisque Babymetal revient à la charge le 28 mai en tête d’affiche au Zénith de Paris.

Le Zénith de Nancy recevra la nouvelle édition du Heavy Week End les 6, 7 et 8 juin prochains, avec une affiche des plus alléchantes puisque nous aurons droit à Powerwolf, Dream Theater et Slipknot, respectivement têtes d’affiche du vendredi, du samedi et du dimanche. GDP a récemment également annoncé la venue de Saxon, Europe et Mass Hysteria.

Retrouvant ses bonnes vieilles habitudes, le Hellfest – sold-out depuis belle lurette – sera de retour à Clisson du 19 au 22 juin. Une affiche aussi alléchante que surprenant avec l’arrivée de groupes moins extrêmes en guise de têtes d’affiches (Muse) et le retrou de valeurs sûres.

Increvables, inusables… Même si Klaus Meine vient récemment d’annoncer lâcher le micro. N’empêche… Les légendaires Allemands de Scorpions proposeront deux dates en France, à Paris Accor Arena le 24 juin et un mois plus tard, le 24 juillet, aux Arènes de Nîmes.

Iron Maiden investira une nouvelle fois la Défense Arena les 19 et 20 juillet pour un nouveau saut dans le passé, centré cette fois sur ses premières années – jusqu’à Fear of the dark. Le show sera complet le groupe étant accompagné par Avatar – comme ce devait être le cas avant Covid. La légende anglaise sera également tête d’affiche des Eurokéennes de Belfort

Le mercredi 22 octobre, Helloween viendra célébrer 40 ans de carrière. Nulle doute que la citrouille saura une nouvelle fois ravir les fans, petits et grands. Une production Gérard Drouot Productions

Après avoir blindé le Zénith sur ses deux dernières tournées, Sabaton investit enfin l’Accor Arena de Paris Bercy le vendredi 28 novembre avant de filer à Lyon le lendemain pour la seconde et dernière date de ce Legendary tour qui promet du grand spectacle.

Après avoir sans doute retourné le festival de Carcassonne le 29 juillet, Gojira tournera partout en France entre le 27 novembre et le 12 décembre, dont une halte à l’Accor Arena (Bercy) de Paris le 30 novembre.

L’année 2025 sera également marquée par la sortie attendue de nombreux albums. Le premier trimestre verra notamment sortir les nouveaux albums en janvier de Tremonti, The Hellacopters, The Night Flight Orchestra, Wardruna, Avatarium ou des « anciens » de Grave Digger, Pentagram ou Tokyo Blade, puis, en février les nouveaux Thunder Mother, Jinjer, Lacuna Coil Killswitch Engage ou Brainstrom avant que mars ne déboule avec Arch Enemy, Coheed and Cambria Destruction et autre Ricky Warwick. On attend aussi plus tard l’arrivée des albums de Helloween, Sabaton et d’autres encore.

On me souffle dans l’oreillette que quelque chose se trame dans les coulisses de Metal-Eyes… Patience. D’ici là, je vous souhaite de passer une très belle année 2025. Quelle soit aussi metallisée qu’emplie de joie, de petits bonheurs et de soleils chaleureux. Prenez soin de vous et de vos proches!

HEAVY WEEK END: de nouveaux noms et mise en vente des pass 1 et 3 jours

Après avoir annoncé les trois têtes d’affiches (Powerwolf, Dream Theater et Slipknot) du prochain Heavy Week End de Nancy – les 6, 7 et 8 juin au Zénith lorrain – Gérard Drouot Production vient de dévoiler 3 nouveaux noms, et pas des moindres: Saxon, Europe et Mass Hysteria viendront donc se joindre à la fête! Ne manquent plus que les premiers groupes à annoncer, mais reconnaissons-le, cette affiche est déjà des plus alléchantes!

Les pass 3 jours sont mis en vente dès aujourd’hui, 13 novembre, à partir de 13h. GDP a revu sa politique une peu hasardeuse de l’an dernier en proposant des tarifs mieux adaptés. Avec seulement 2 catégorie, chacun devrait pouvoir y trouver son compte.

D’un côté, il est proposé un pass « standard  » 3 jours au tarif de 185€ permettant d’avoir une place en gradins supérieurs ou sur les côtés avec visibilité réduite. Il est également proposé des tarifs groupe, le « pass friends » (3 personnes minimum) à 155€ et un tarif « jeune »(moins de 30 ans)/ »étudiant »/ »fosse  » à 135€.

Les pass « premium »/catégorie or donnent accès à une place en gradins bas (hors carré VIP) au tarif de 275€ (premium et VIP au même tarif).

Les places sont disponibles dès à présent ici – et c’est bientôt Noël, alors pas d’hésitation:

www.heavyweekend.liveGérard Drouot ProductionsNancy Open AirLabel LN

Les pass un jour sont désormais en vente. Là encore, quatre tarifs: trois en « placement libre assis/debout – Étudiant/Moins de 30 ans (52€), Friends (3 spectateurs minimum, 63 €), Standard (74€) – et Premium (carré or, 107€).

HEAVY WEEK END 2025: premières annonces !

Gérard Drout Productions vient de l’annoncer: la seconde édition du Heavy Week End aura bien lieu!

Les 6, 7 et 8 juin 2025, l’écrin de verdure du Zénith de Nancy accueillera dans le cadre du Nancy Open Air une nouvelle douzaine de groupes dont les gigantesques Slipknot qui viendront clore les festivités le dimanche soir. Un évenement quand on sait qu’aujourd’hui le groupe n’a annoncé que 2 dates en France Lyon et Nancy) l’année prochaine.

Plus de noms suivront sous peu.

HEAVY WEEK END: le report – Vendredi 21 juin

Le Heavy Week End… Une affiche de rêve que nous propose Gérard Drouot Productions une semaine avant le grand pèlerinage annuel des métalleux de l’autre coté de la France. Un festival qui se veut plus soft, et bien moins éreintant puisqu’on nous promet que le Zénith de Nancy n’aura qu’une seule scène, permettant ainsi au public de pouvoir profiter pleinement de chacun des 11 concerts de ce week end.

Contrairement à nombre de Zéniths de France, celui de Nancy présente la particularité d’être modulable. Ainsi, en retournant la scène, une ouverture à son arrière permet d’accueillir, en configuration mixte (gradins et fosse) environ 15.000 personnes dans un véritable écrin de verdure. Le Heavy Week End se veut ainsi un festival à taille humaine. Las, a peine trois semaines avant le coup d’envoi, de nombreuses places restent libres. La conjonction prix du billet – un peu cher, 111€ le jour en fosse – et le Hellfest la semaine suivante a sans doute freiné les potentiels festivaliers. Résultat, GDP annonce, le 10 juin, un nouveau tarif exceptionnel en fosse de… seulement 21€ par jour, ce ci « pour fêter l’été ». Une réduction de 80% qui vise, naturellement, à la remplir, cette fosse, mais un nouveau tarif qui pourrait aussi, on peut aisément l’imaginer, faire bondir ceux qui ont acheté leur(s) place(s) au prix fort. Sera-ce suffisant pour attirer plus de monde et éviter que les géants du métal ne jouent face à un parterre vide? La promotion disparait cependant rapidement, une opération éclair qui n’a sans doute pas assez duré.

Après une longue route sous une pluie battante – la météo annonce cependant des accalmies- c’est le soleil qui accueille notre arrivée à Nancy. Le temps de poser mes affaires, et me voici parti en direction du Zénith. La route est limitée à une voie, ce qui rend la circulation dense mais également fluide. L’accès aux parkings est aisé.

The Last Internationale @HEAVY WEEK END

J’ai le plaisir de retrouver bon nombre de copains d’un peu partout, dont certains que je n’ai pas vus depuis des lustres. L’ambiance générale est détendue tant au niveau du public que chez les autres intervenants – ou presque. Mais c’est sous un ciel grisonnant, devant un parterre dégarni et des gradins encore peu remplis que les New Yorkais de The Last Internationale investissent la scène. Nous avions pu découvrir le groupe lors de son passage au Hellfest en 2022 et la prestation avait emballé le public. Las, ce groupe fondé par la chanteuse Delila Paz et le guitariste Edgey Pires il y a maintenant plus de 15 ans va avoir le plu sgrand mal à dynamiser un public épars et peu réactif malgré les remarques qu’égrène Delila (faisant référence à Tom Morello qui dit que « ça n’a pas besoin d’être bruyant pour être heavy » ajoutant « mais ce serait bien que vous fassiez plus de bruit quand même » ou encore « c’est le festival le plus calme que je connaisse »…) Même quand Delila évoque Nina Simone, la gigantesque chanteuse de jazz américaine, elle ne reçoit que quelques retours polis… Et pourtant, la brune chanteuse possède une voix suave et puissante…

The Last Internationale @HEAVY WEEK END

Pas encourageant comme attitude, mais il en faut plus pour décourager le groupe qui affiche son humeur du moment – un drapeau palestinien sur le côté de la scène et la peau de grosse caisse flanquée d’un Cease fire en lettres capitales. Pour terminer le concert, Delila se saisit de la basse tandis que son bassiste s’installe aux claviers pour une fin simplement rock et énergique. Une mise en bouche sympathique maisun public pas encore très chaud.

The Last Internationale @HEAVY WEEK END
Extreme @HEAVY WEEK END

On passe à la vitese supérieure avec Extreme, que je n’ai pas vu depuis des lustres. Comme une première fois en somme. Et le message est clair à peine Gary Cherone monte-t-il sur scène: on va avoir droit à du show tant le chanteur se tord tel un Gary latex! Clairement, on change de registre et le festival monte en puissance devant un public plus dense sinon imposant.

Extreme @HEAVY WEEK END

Le fond de scène est explicite: l’illustration de la pochette du mythique Pornograffitti indique que le groupe souhaite mettre en avant son album le plus connu. Et ça démarre avec la triplette It(‘s a) monster et Decadence dance suivi de Kid ego issu du premier album des Américains.

Extreme @HEAVY WEEK END

Nuno Bettencourt est aussi bavard que démonstratif – sans frime aucune – alignant ses riffs et soli avec une diabolique précision, Pat Badger (basse) s’appliquant sous son Stettson tandis que, plus discret, Kevin Figueiredo martèle ses futs tenant la structure.

Extreme @HEAVY WEEK END

Le public n’a d’yeux pourtant que pour la paire Cherone/Bettencourt qui se donnent comme de beaux diables, ne laissant aucun instant de répit au public (sauf un moment moins intense sur , avec qui les deux communiquent beaucoup. Après Hole hearted, Nuno annonce que voici son « moment préféré du concert: je vais pouvoir m’asseoir! Et quand tu arrives à 58 ans, s’asseoir c’est aussi bon qu’un orgasme! » Il attaque alors un impressionnant solo à l’issue duquel il est rejoint par Gary Cherone qui annonce avec gravité: « je sais que c’est sensé être un concert heavy, mais le monde a aussi besoin d’amour » pour entamer More than words que le public connait par cœur. Les téléphone se lèvent pour immortaliser l’instant et, devant moi, j’aperçois Matthieu Drouot qui filme aussi, se tournant pour capter tout le public mais… Je crois apercevoir un regard interpellé. Rapidement, l’organisation décide de faire tomber le barriérage invitant le public assis à investir la fosse, ce qu’il ne se fait pas répéter.

Extreme @HEAVY WEEK END

Cherone rappelle au public qu’ils sont en mode « festival », avec un show écourté, souhaitant cependant pouvoir revenir rapidement avec un show complet. Extreme termine son show avec l’incontournable Get the funk out et un extrait du tout récent Rise. Voila la machine Heavy week end lancée, et la suite promet d’aêtre tout aussi belle.

Extreme @HEAVY WEEK END
Scorpions @HEAVY WEEK END

Ceux qui ont pu voir Scorpions ces dernières années savent que le groupe est en forme. Les Allemands sont de retour pour célébrer les quarantième anniversaire de Love at first sting, alors on sait déjà qu’on va avoir droit à une setlist de rêves.

Scorpions @HEAVY WEEK END

Un nuage de fumée envahi l’espace scénique, pendant que les premières mesures de Coming home ne se fassent entendre alors que la scène est encore vide. Dans la fumée, côté cour, apparait un Klaus Meine hésitant, qui a du mal a marcher. Il rejoint le centre de la scène avant que ne déboulent avec énergie ses compères.

Scorpions @HEAVY WEEK END

Après Gas in the tank, seul extrait du dernier album, Rock beleiver, Scorpions nous assène une collections de hits et de raretés (dont Crossfire, interprété pour la première fois sur toutes les dates de cette tournée ou The same thrill jamais interprété depuis 1984!).

Scorpions @HEAVY WEEK END

Les lumières sont au top, les illustrations qui animent l’écran de fond de scène superbes, et les instrumentistes sont vraiment en forme, Rudolf Schenker et Matthias Jabs investissant généreusement l’avant scène.

Scorpions @HEAVY WEEK END

Seul Klaus, s’il est en voix, confirme avoir pris un coup de vieux. S’agrippant au pied de micro, il se déplace lentement et, lorsqu’il s’adresse au public la voix chevrotante, il semble avoir besoin du soutien de son pied de micro, ne balançant plus – heureusement! – des baguettes par forêts entières.

Scorpions @HEAVY WEEK END

La foule compacte – on remarque ce soir que même les gradins sont désormais bien fournis, bien qu’on circule aisément – est toutefois à fond derrière ses héros légendaires acclamant aussi bien les classiques que sont Make it real, The zoo, Bad boys running wild que les attendues ballades Delicate dance, Send me an angel ou la nouvelle version de l’incontournable Wind of change dont le premier couplet a été modifié, ne parlant plus de la Moscova pour dénoncer l’agression russe envers l’Ukraine.

Scorpions @HEAVY WEEK END

Après The same thrill, Mikkey Dee nous assène un monstrueux solo de batterie d’une bonne dizaine de minutes qui, bien que totalement intégré à Scorpions, évoque, par le biais du juke box projeté, son glorieux passé avec Motörhead avant que Rudolf ne redéboule armé de sa guitare à fumée pour un Blackout (seul extrait de l’album éponyme) suivi de Big city nights, doublette annonciatrice de l’approche de la fin du concert.

Scorpions @HEAVY WEEK END

Etonnamment, le pubic commence à quitter les lieux lorsque le groupe quitte la scène avant de revenir pour un – court – rappel. Ben oui, il manque un titre quand même… Scorpions revient pour le très attendu et incontournable Still loving you qui voit, comme toujours, les couples s’enlacer, avant une superbe interprétation de l’explosif Rock you like a hurricane venant conclure un superbe concert. Nos héros vieillissants ont encore des choses à dire, alors profitons en.

Scorpions @HEAVY WEEK END

Au final, malgré une faible fréquentation globale – le public a miraculeusement grossi pour le concert de Scorpions – cette première journée a rempli toutes ses promesses. Celles d’un festival convivial, à taille humaine et permettant surtout, c’est bien le principal, de pouvoir assister à l’ensemble des concerts dans leur intégralité. Vivement demain!

Merci à Anne-Lyse Rieu et Nicolas Le Bouedec (Gérard Drout Productions) et Olivier Garnier d’avoir rendu ce live report possible.

HEAVY WEEK END: l’affiche complète

On avait déjà envie d’y être avec les premières annonces… Gérard Drouot Productions, l’organisateur de l’évènement nancéen, vient de dévoiler les nouveaux noms qui s’ajoutent à l’affiche du Heavy Week End. Ce festival se tiendra sur 3 jours au Zénith de Nancy les 21, 22 et 23 juin prochains.

A l’affiche initiale déjà annoncée (Extreme et Scorpions le vendredi, Megadeth et Deep Purple le samedi et Alice Cooper et Judas Priest le dimanche) Gérard Drouot Productions a annoncé que viennent de s’ajouter The Last international, le 21 juin, Sortilège et Pretty Maids le 22, Ayron Jones et Tom Morello le 23, soit un total de 11 groupes mythiques ou en passe de le devenir.

Quel meilleur endroit pour fêter l’arrivée de l’été que ce Zénith de Nancy dans à peine deux mois? Accédez à tous les renseignements et à la billetterie avec ce lien: Heavy Week End